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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 10:52

Oh Riolo qui aime Tottenham ? Je l'aime un peu plus ^^
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 10:55

Moi j'aime Glenn Hoddle et leur devise latine^^
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 11:20

Marrant, lui aime bien Tottenham après un voyage a Londres, moi Manchester City (même si c'est pas un club de London)
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 11:20

ah oui notre fameux supporter de City lol... il était génial^^Et fred avec sa vieille écharpe de sainté qu'il avait échangé^^
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 11:28

Le Colonel O'Grady ! Epique
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 11:32

Il a bien raison et y'aura le même résultat Revue de presse - Page 2 2473914220
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 11:49

Bob a écrit:
Le Colonel O'Grady ! Epique

Qui nous ramène le seigneur des anneaux les trois films qu'on a même pas regardé^^
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:02

Bon voila je met l'article des cahiers du foot sur Dortmund. Liront ceux qui veulent^^

LA MARQUE JAUNE ET NOIR

Neuf ans après son dernier sacre, Dortmund remporte la Bundesliga au terme d’une saison joliment menée. Le début d’une série de titres pour le BVB 09?

La 32e journée de Bundesliga a définitivement entériné la première place du Borussia Dortmund. Le BVB 09 est devenu le second club à remporter un deuxième championnat d'Allemagne au 21e siècle. Au vu de la saison des Jaune et Noir, ce titre est bien mérité. Car passé le malchanceux 0-2 contre Leverkusen du début de saison, Dortmund a suivi une trajectoire continûment ascendante, atteignant vite une première place qu’il n’a plus cédée après dix journées et réalisant une série de quinze matches consécutifs sans défaite entre les 2e et 16e journées. Une série qui coïncide avec une autre, inédite celle-là, de huit succès en autant de déplacements, là où le précédent record était à six [1]. Avec de tels résultats et dix points d’avance sur les plus proches poursuivants à mi-parcours, un podium avec ticket en C1 était attendu… et le titre plus ou moins secrètement espéré.


Fièvre jeune
La révélation du deuxième semestre 2010 aura assurément été le Japonais Shinji Kagawa. Arrivé l’été dernier pour 350.000 euros en provenance d’Osaka où il a joué en D2 et D1 nippones, le milieu offensif international a été la star du moment, mettant le feu aux défenses adverses et affichant une jolie moyenne – voisine d’un but inscrit tous les deux matches en Bundesliga. Question rapport qualité-prix des recrues, Kagawa est tout en haut de tableau, et il n’a pas été la seule bonne pioche.

Revue de presse - Page 2 Dortmu10

Autre choix gagnant: le Polonais Robert Lewandowski, vingt-deux ans, venu à l’intersaison du Lech Poznan pour presque 5 millions d'euros. Sacré dans son pays meilleur buteur de D3 en 2007, de D2 en 2008 et de D1 l’an dernier, l’attaquant est parvenu à se faire sa propre place comme "super-joker" dès la première partie de saison (16 matches joués sur 17, 15 entrées en cours de jeu et 5 buts), avant d’être titularisé régulièrement en l’absence de Kagawa, blessé sur toute la phase retour. Autre renfort remplaçant à l’origine: son compatriote Lukasz Piszczek, latéral droit arrivé gratis du Hertha Berlin, qui a pallié la longue indisponibilité d’Owomoyela dès la 7e journée.


Kloppo fait de l'humour
La chance du Borussia est de pouvoir s’appuyer sur une équipe titulaire composée de bon nombre de jeunes internationaux allemands, Espoirs ou A, en pleine progression: Marcel Schmelzer, Mats Hummels et Sven Bender dans le secteur défensif, Mario Götze et Kevin Grosskreutz dans le secteur offensif [2]. Avec, pour les encadrer, d’anciens internationaux d'expérience, tels le gardien Roman Weidenfeller, le défenseur Patrick Owomoyela ou le capitaine Sebastian Kehl.

À la tête de ce groupe professionnel rajeuni, Jürgen Klopp, le jeune (quarante-trois ans) coach blond à lunettes qui s’était d’abord fait connaître comme entraîneur du modeste FSV Mayence. Ancien joueur du FSV 05, alors en D2, il a mené ce club à sa première montée dans l’élite en 2004. Malgré une relégation en 2007 et un échec à la remontée, Klopp a été très courtisé. En quittant Mayence pour Dortmund en 2008, il a pu montrer de quoi il était capable en disposant d’un effectif plus costaud. Sur le terrain, comme l’ont montré les résultats acquis par le BVB: 6e en 2009, 5e et qualifié en Europa League en 2010, et enfin Meister et qualifié en C1 en 2011. Mais aussi hors du terrain, comme l’a attesté une interview très second degré de "Kloppo" à l’issue du 4-0 acquis contre Hanovre à l’automne dernier – et on dit que les Allemands n’ont pas d’humour.



Équipe type du BVB 2010/11


Revue de presse - Page 2 Dortmu11

Remplaçants : Langerak (G), Felipe Santana, Owomoyela, Blaszczykowski, Da Silva, Lewandowski.



Passeurs partout, rivaux nulle part
Un atout décisif en faveur du Borussia a été son contingent de joueurs capables de délivrer la dernière passe: si la star montante Mario Götze en est rendue à 15 (ce qui en fait le deuxième meilleur passeur du championnat après notre Ribéry national), les Sahin (8), Großkreutz (7), Barrios (6) et même un arrière comme Piszczek (6) constituent des appoints non négligeables. Avec un tel onze titulaire, le danger jaune et noir peut surgir de presque partout. Premier, le Borussia Dortmund ne l’est pas seulement au classement de la Bundesliga. Il l’est aussi au fair-play, avec seulement 38 cartons jaunes et 1 rouge (non direct). Comme quoi le jeu peut être offensif sans être offensant.

Un autre facteur décisif aura été la faiblesse ou l’irrégularité des rivaux. En ratant dans les grandes largeurs leurs débuts de saison, le VfB Stuttgart (comme habitude), le Werder de Brême (décimé) et Schalke (malgré/à cause de Magath) ont vite dû faire une croix sur leurs ambitions européennes initiales. Le champion 2009 que fut Wolfsburg n’a été que l’ombre de lui-même depuis les départs à l’étranger des Misimovic, Barzagli et Dzeko. Quant au Bayern, il a déchanté avec sa défense fragile, son effectif trop court et le faux départ de van Gaal. Seul, le Bayer a bien résisté, mais le club rouge et noir n’est pas surnommé "Neverkusen" pour rien.


Tout n’était pas parfait
Du côté des ratés de la saison 2010/11 du BVB 09, on retiendra les éliminations précoces en coupes. D’Allemagne d’abord, avec une piteuse sortie aux tirs au but dès le deuxième tour à Offenbach (D3). D’Europe ensuite, avec une troisième place de groupe en Europa League. Mais ces échecs ont permis au club jaune et noir de se concentrer sur la seule Bundesliga, conclue avec le succès que l’on sait. Et les joutes de C3 auront fourni aux jeunots de Dortmund de l’expérience au niveau européen.

Revue de presse - Page 2 Dortmu12

Comme "occasion manquée", on se remémorera le raté phénoménal de "Kuba" Blaszczykowski lors de la 13e journée. Seul devant les cages fribourgeoises, le Polonais ne parvient pas à cadrer pour le but du 3-1 – un échec finalement sans autre conséquence que de bien figurer dans le bêtisier de la saison. Enfin, on signalera les saisons de deux cadres du Borussia. Sebastian Kehl, au club depuis 2002 et capitaine du groupe, a encore été longtemps absent pour blessure. Le latéral gauche Dede a lui été supplanté pour de bon par Schmelzer – le Brésilien va quitter ce club où il était arrivé en… 1998.


Le début d’une série?
La saison suivante sera-t-elle de la même eau (de jouvence)? L’effectif du Borussia Dortmund est globalement jeune, et les titulaires de cette année ainsi que l’entraîneur sont tous liés au club de la Ruhr par des contrats qui arrivent à terme à l’été 2013 ou 2014 (et même 2016 pour Bender) – l’idéal pour travailler dans la durée. En théorie. Car de nos jours, ces durées contractuelles sont toutes théoriques. Mais la très belle saison 2010/11 réalisée par le club et la perspective de disputer la C1 devraient diminuer les velléités de départs de fin de saison, même à l’étranger. Les déclarations en ce sens d’un Götze (même pas dix-neuf ans) à Bild, disant qu’il ne voyait pas pourquoi il quitterait le Borussia puisqu’il va disputer avec lui la plus prestigieuse des compétitions européennes, donnent la tendance actuelle.

Si les sollicitations sont nombreuses cet été, on ne peut que souhaiter à Dortmund de conserver autant que possible ses talentueux joueurs. Dans le pire des cas, pour éviter de vivre une chute "à la Wolfsburg" – deux ans seulement après son inattendu premier sacre en Bundesliga, le VfL a lutté pour son maintien. Dans le meilleur des cas, pour profiter au maximum de sa participation en C1 et tenter d’établir une série en championnat. Ce qui serait un événement, car le dernier club non-bavarois à avoir conservé son titre était un certain Borussia Dortmund – il y a quinze ans déjà.

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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:11

Bel article.
Ca parle pas de Sahin. Revue de presse - Page 2 973970822 Revue de presse - Page 2 973970822
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:12

Il est évoqué ça et là. Il a voulu mettre en avant le collectif
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:15

Non mais même. C'est un grand artisan du succés. Même pas cité je crois bien en plus.
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:33

ouais tu l'as pas lu en fait... t'aurais pu faire semblant au moins^^
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:44

1) J'ai tout lu attentivement car j'aime bien le Borussia.
2) Sahin(8) passes. C'est tout ce que j'ai lu de Sahin..
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:49

Ben oui mais c'est une équipe qui a gagné...
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 13:54

Non mais je suistout a fait d'accord avec le collectif Toussa. Je loue le collectif Jaune et noir.

Je notais juste que Sahin n'apparaissait pas alors qu'on parle de Kagawa en grande lignes et Hummels, Grosequeu. C'est tout hein
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 14:04

Pas mal !! Sympas Revue de presse - Page 2 3602195817, voyons faire maintenant le résultat dans la SFL Revue de presse - Page 2 2473914220
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 14:07

Ben l'ordi a planté alors c'est pas tout de suite^^
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 14:16

ouais j'ai vu ça Revue de presse - Page 2 281566995 la haine en plus y avait de bons résultats, surprises etc c'est dommage !
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 14:32

J'te le fais pas dire
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 15:06

Je vais à la douche Revue de presse - Page 2 3602195817
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 15:07

Arrête de flooder ouais
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 15:14

Très bien.
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeJeu 12 Mai - 20:34

Flooders !
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeSam 14 Mai - 9:13

Les gars je vous poste un article énorme (au propre et au figuré). Je l'ai trouvé dans les commentaires sur le blog de Daniel Riolo. Apparemment sont auteur s'appelle Fred et doit travailler à Sportvox. Lisezle si vous avez le temps parce que c'est quand même dingue ce qu'on peut dire ou "faire dire"

L’escroquerie barcelonaise

Tous complices, tous responsables, tous coupables.

La lâcheté, la fausseté et l’hypocrisie-le conformisme pour les plus optimistes-sont devenues les valeurs cardinales d’une société en perdition, en déclin, qui perd tout sens des vertus morales, de l’honneur et de l’éthique, et où l’opportunisme, le manque de scrupules et la malhonnêteté contaminent les esprits d’un grand nombre d’entre nous. Voilà à quoi ressemble le monde d’aujourd’hui. On a décomplexé la médiocrité qui ne craint plus le ridicule de s’afficher, et de venir imposer son étroitesse d’esprit.
Mourinho, quand il a débarqué à Madrid l’été dernier avait eu ces premiers mots quand un journaliste lui demandait ce qu’il pensait du Barça: "Barcelone est une bonne équipe de 11 joueurs, qui gagne souvent contre des adversaires réduits à 10 joueurs". Visionnaire.
Il a rajouté après le match aller de demi-finale que si son équipe avait le malheur de marquer, on les «tuerait» aussitôt. Prémonitoire.
Et s’il ne s’agissait que de bon sens? D’absence d’hypocrisie? C’est sûr que dans un pays comme le nôtre, où pour esquiver la frontalité de la question du nombre de blacks en équipe nationale on préfère «prétexter» du problème de la «double nationalité», ce mec doit faire l’effet d’un OVNI.

Mou a raison, toujours raison. Le foot se meurt.

Le règne de la bien-pensance pro-barcelonaise dégoulinante de partout, qui a infiltré la plupart des médias de grande écoute et d’esprits influençables et jusqu’aux forums de discussion (celui-ci ne fait d’ailleurs hélas pas exception à la règle) veut nous imposer ses goûts, son approche exclusive, limitée et totalitaire de ce qu’est le football. Pourtant, depuis son origine, le foot se conjugue à tous les temps et à toutes les personnes. Le foot est pluriel et c’est ce qui fait sa singularité. Il unit, rassemble, confère et rapproche. Il est égalité. Il est aussi diversité. Le foot, c’est aussi et surtout la liberté. C’est ce qui rend ce sport universel et riche. Il existe mille et unes façons de le penser, de le concevoir, de le pratiquer, de le jouer. Le foot ne se réduit pas à la seule approche barcelonaise. Ce débat sur la conception du beau a déjà contaminé les esprits rétrécis de nombreux passionnés de tennis, qui ne le *****çoivent qu’à travers le tennis d’un joueur, Federer pour ne pas le nommer. Et voilà que ce totalitarisme fanatique envahit maintenant le monde du football.
Le foot, ce n’est pas seulement 70% de possession de balle, des entrechats et des passes redoublées dans un petit périmètre exécuté par des demi-portions qui possèdent en plus la dimension physique de gros balèzes et la résistance de marathoniens pour pouvoir exécuter un pressing de malade dès les abords de la surface adverse, et ce sur toute la largeur et la profondeur du terrain. Le but du foot, c’est précisément de marquer des buts. Lors de la finale de la coupe du roi, le Barça a eu 70% de possession de balle, mais le Real a eu plus d’occasions avec seulement 30%. Et il a gagné au terme d’un match serré. A 11 vs 11. Question d’honneur. Le blanc du maillot sans doute, ou de la probité de son entraîneur.
Ce à quoi nous assistons depuis deux ans avec cette équipe catalane est la plus vaste supercherie-et je pèse mes mot-la plus grande manipulation à grande échelle que l’on puisse imaginer. Et le pire dans tout ça, c’est que beaucoup assistent à la mort du foot en silence, sans lever le petit doigt et oser dénoncer ce drame. Ils sont les témoins, souvent muets voire consentants et même parfois pire les complices, de cette parodie d’esprit sportif qui verse davantage dans le ridicule voire l’ubuesque. Honte à tous ceux-là. Vous croyez être les défenseurs du football, vous en êtes les sombres fossoyeurs
Je n’ai pas lu un seul média s’outrer de la farsa auquel on nous convie en cette période depuis maintenant deux années successives. Et pourtant, vu les tronches des deux commentateurs mardi soir, on sent qu’ils ne sont pas dupes, malgré leur parti franchement insupportable. Mais, comme il s’agit du Barça, le symbole même du beau jeu, l’esthétisme porté à son paroxysme, ça passe comme une lettre à la poste. Du vol, du favoritisme (uefa), de la simulation (Farça acting club) et ce n’est pas le petit Messi malgré son grand talent qui fera oublier tout cela.

Tous consentants, tous complices, tous coupables.

Afin d’étayer et d’ainsi justifier ce propos, il est utile d’énumérer toute une série de faits qui mis bout à bout dévoilent toute la logique du système.
L’escroquerie suit un cheminement que l’on peut décortiquer en plusieurs étapes, et qui nécessite l’intervention de plusieurs acteurs.
étape 1: Le conditionnement, l’endoctrinement
Le prêche médiatique. Ici, les médias tiennent un rôle déterminant. Pour faire simple pour des esprits simples: le barça, ce sont les gentils. La meilleure équipe de tous les temps, nous assène-t-on. Les tenants du beau jeu, c’est magnifique, c’est génial. Jouissance extatique.
Les prêtres sont nombreux. Sur les ondes télé ou à la radio, ils ont investi la place. La belle pensée unique bas de plafond très en vogue ces temps-ci dans notre si beau pays. Obélix (celui que le foot de Mourinho fait gerber: tant mieux, à défaut de le rendre plus intelligent, au moins ça le fera maigrir, c’est déjà ça), le surfeur basque, la folle, l’ami de Maradona, sans oublier les journaleux de la presse écrite sportive, tenants de la bien-pensance totalitaire tous à l’unisson. Le Barça, c’est le mieux. Puisqu’on vous le dit. Ah oui, et le Real et Mou, c’est de l’antifootball. Bouh, vive le vrai et beau football, vive le Barça! On le répète, on le martèle, on l’assène inlassablement, et tout le monde finit par le croire. Faire en sorte de rendre vrai ce qui ne l’est pas. C’est ainsi que fonctionne toute propagande.
Il suffit de lire le traitement réservé aux deux joueurs emblématiques, dans n’importe quelle revue de votre choix. Messi est souvent mis en valeur (photo, article) alors que cr7 est présenté comme un mec superficiel, uniquement préoccupé de sa plastique (désolé pour les frustrés et autres laiderons). Pourtant, on ne connaît rien de Messi. Je n’ai jamais lu ou entendu d’interview approfondie où il se dévoile. Un peu comme Zidane, moins il en dit mieux c’est. L’objectif de toute façon n’est pas de rechercher la vérité sur ce gars (la vérité, c’est ce que l’on veut le moins dans cette affaire), c’est de faire croire qu’il est un type bien et que l’autre est détestable. Mission accomplie. Prochaine étape.

étape 2: La déstabilisation et la diabolisation de l’adversaire
«L’enfer, c’est les autres», disait Sartre.

Le Real est un club de riches, pourri par l’argent, et donc haïssable, occultant au passage par recours au concept de Masia, les sommes astronomiques investies par Barcelone ces dernières années, qui au final ne sont pas tellement éloignées de celles dépensées par le Real, mais mieux vaut ne pas en parler pour ne pas briser le mythe. Mou est un salaud. C’est l’antifootball. Il laisse même pas gagner le Barça! Mais quel scandale! En plus, il motive ses joueurs qui se défoncent sur le terrain. Intolérable et dangereux (dixit l’ami du Pibe).
Pepe: un casseur. Une brute, une bête, un assoiffé de chair, qui fait que embêter le gentil Lionel. Mais quel salaud, sincèrement! Un ennemi du football (football=barcelone). A écarter coûte que coûte. Lavage de cerveau, repris en coeur par les médias complices. Christophe Josse anticipe en cela ce que tout le monde veut: que Pepe qui empêche Messi de jouer soit sorti du terrain, pour que le grand Messi puisse nous éblouir. Mission accomplie par l’arbitre UEFA. Et par la même occasion, Mourinho est aussi éjecté. C’est mieux, on ne sait jamais. C’est qu’il pourrait motiver ses joueurs, ce vilain, si on le laisse sur son banc. Allez, ouste, dehors! Tiens, d’ailleurs pour le match retour, on lui fait comprendre qu’il vaut mieux qu’il n’aille pas au stade (toutes les loges en tribune sont par le plus grand des hasards justement occupées, nous dit-on. Pas de chance, José!) et qu’il lui est formellement interdit de communiquer avec ses joueurs. Un peu plus, la police politique de l’UEFA l’aurait arrêté, placé entre deux gardes, bâillonné et interdit d’user de sa liberté d’expression. Mes que une dictature.
Il est décrété en haut lieu que CR7 est une plongeuse, l’antifootball, qu’on ne lui sifflera plus aucune faute à cet arrogant. Et qu’il s’estime heureux de pouvoir rester sur le terrain. Non mais! Le rejet qu’il inspire est avant tout une histoire de complexe. Le portugais paye ici son image arrogante, de gagneur, de beau gosse, d’homme et de joueur dotés de tous les attributs physiques et techniques. C’est vrai que ça fait un peu beaucoup pour le petit geek au physique ingrat d’être confronté à cela, voyant en Messi un des leurs qui s’en serait tiré. Ah, y a pas à dire, c’est beau le rêve qu’envoie l’UEFA!
Les médias pseudo éclairés et à l’analyse souvent éteinte nous ressassent le jeu dur du Real sur la première demi-finale, et que c’est bien fait pour ces sauvages qui font rien que de faire du mal aux gentils petits héros. Pourtant, pour n’importe quelle personne dotée d’un QI à deux chiffres et d’un minimum de lucidité, s’il lui venait l’envie d’aller consulter les statistiques de ce match, hors des sentiers battus de l’intelligentsia écervelée, il verrait la chose suivante, que l’on tente par tous moyens de lui cacher: Fouls committed (Real: 21; Barc.: 25); Yellow cards (Real: 3; Barc.: 2); Red cards (Real: 1; Barc.: 0). D’où l’on voit que le Barça a commis plus de fautes, mais a été moins sanctionné. Mais mieux vaut ne pas trop l’ébruiter. Les brutes et bouchers, ce sont les joueurs du Real. Ceux du Barça sont de blanches colombes
On s’en doutait déjà, mais a conjonction de ces trois facteurs est explosive: Real, Mourinho, Ronaldo. Le diable n’aurait pas dépareillé entre ces noms. (Pour un exemple de diabolisation: ).
Résultat: vous obtenez une propagande de dénigrement décuplée. Tous les ennemis du Barça et de l’UEFA en un seul et même lieu. Génial, on va pouvoir concentrer toutes nos forces sur une même cible. Feu à volonté, et de toutes parts! Là, il y a de tout les tireurs habituels comme Cruyff (un feu entraîneur moyen qui est bourré de complexes, sûrement car l’entraîneur n’a jamais égalé le joueur, et ne parlons pas de l’homme) et les snipers occasionnels (généralement de sombres inconnus qui trouvent là une occasion de faire parler d’eux ou d’anciennes gloires continentales sur le déclin en quête de réhabilitation d’image). Le véritable ennemi intime est un rustre portugais, jadis membre de la maison, qui a empêché la prophétie uefa de se réaliser. Le barça est l’équipe du siècle et se devait de gagner dans l’antre de son plus grand adversaire. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir favorisé la remuntada, mais rien n’y a fait. Mince.
Cet homme n’est pas seulement l’objet de rejet. Il inspire à ses détracteurs (détracteurs=fans du Barça, le Zero tituli connection italien et d’autres complexés d’un peu partout) de la détestation, de la haine voire plus inquiétant encore une psychose névrotique qui tend vers l’hystérie voire la paranoïa: cet homme serait le symbole du mal, l’ennemi ultime de l’humanité (oui, le Barça, l’UEFA et les médias l’ont conjointement décrété, cherchez pas à comprendre). José, tu es persona non grata. Tu es le maillon faible.
Tout est savamment orchestré et coordonné. C’est ensuite la ribambelle des entraîneurs complexés, qui n’ont ni sa compétence, ni son charisme, de venir donner des conseils au coach portugais. Merci les gars, mais quand il aura décidé de devenir un perdant, il viendra vous demander conseil.
On a coutume de dire que la grandeur d’un homme se mesure au nombre de ses ennemis. Alors, Mourinho est grand, très grand.

étape 3: Le Messi, l’élu
Le guide. Le sauveur du beau football. Héros improbable à l’allure de geek, élevé aux hormones de croissance et dont la rhétorique n’a d’égale que celle de Zidane. Catapulté plus grand footballer de tous les temps par des médias incultes pressés de remplacer au pinacle un brésilien qui jouait à l’époque de Mathusalem et donc que les midinettes de maintenant ne connaissent que de réputation, ainsi qu’un «vrai» génie argentin, consommateur régulier de théories marxistes et occasionnellement de drogues. On nous répète même sans retenue qu’il a déjà dépassé Maradona et Pelé. Tout ce que fait Messi est beau. Quand il subit une faute, elle est toujours sifflée. De même que quand il n’en subit pas. Ben ouais, c’est le privilège des génies! Messi a le droit de tirer sur le public et de casser deux dents à Maicon, sans qu’aucune remarque ne lui soit faite. C’est quand même Messi, *****, le génie du 12 vs 10!
Puisqu’on vous le dit. Le traitement réservé à cr7 dans le même temps est l’exact opposé. On ne lui siffle plus aucune faute (son quota a été transvasé et récupéré par Messi). Pas une. C’est qu’il risquerait de marquer sur coup franc, ce *****, et passer devant l’idole Messianique. Ah ça, jamais! C’est écrit, cr7 est une plongeuse, un mec qui simule. Du coup, les arbitres ne sifflent plus rien. Il ne faut siffler aucune faute sur lui. Messi est le plus grand (quand l’arbitre uefa est de la partie et a déjà clairsemé le camp adverse, généralement un joueur clé qui empêchait l’élu de venir nous éclairer). Pepe dehors! C’est qu’il avait éteint Messi en coupe du roi, mieux vaut ne pas prendre de risques. Tiens, et Mourinho aussi. D’une pierre deux coups. Ni vu ni connu, et vas-y que je t’embrouille. On l’empêche de communiquer avec ses joueurs aussi. C’est qu’il pourrait les motiver cet abruti, et ils se dépasseraient pour battre le Barça (qui comme chacun le sait est imbattable). Mourinho est un tortionnaire nazi, dixit l’ami du pibe. Il faut donc l’empêcher de venir déverser sa bile. Bâillonons-le, ce chien galeux!
D’ailleurs, Platini a dit que l’on pourrait donner à Messi le ballon d’or tous les ans. Sympa pour les autres. Ca leur laisse de l’espoir. En plus, venant de l’un des organismes en charge de l’élection, c’est pour le moins peu banal. On a déjà vu l’année dernière. Milito, Sneijder et même Robben ont déjà fait l’expérience de ce partisianisme. On s’en tape de votre saison, le ballon c’est pour Lionel. Tiens, mon petit, c’est que pour toi. Allez, circulez!
La réalité c’est que Messi est un très bon joueur. Mais sans plus. Son dribble court rentrant est efficace mais manque de variété et il joue avant tout sur la vitesse. Sa frappe de balle est très limitée. C’est un mec quelconque, qui a autant de charisme qu’une huître. Il fait basculer des rencontres quand on lui a préparé le chemin, en réduisant l’équipe adverse de l’un de ses éléments, et en entamant ainsi sa confiance. Maradona n’avait pas besoin de telles faveurs pour briller, idem pour Pelé. Ces deux vrais et seuls phénomènes étaient décisifs aussi bien en club (et leurs partenaires n’étaient pas aussi bons, surtout dans le cas du Pibe), en sélection et ne dépendaient pas de l’arbitre pour faire basculer un match. Transparent au mondial et pendant les qualifications, la propagande médiatique et footballistique estampillée uefa-fifa veut nous faire croire qu’il est l’élu. Et un élu, ça doit gagner. Quoi qu’il en coûte
Reprenons: un petit nain élevé aux hormones de croissance. Un succès programmé par Big Brother qui l’a décidé. On va le répéter à outrance, on te donnera un ballon d’or même quand tu ne le mérites pas. Ça te consolera. T’inquiète pas, CR7 ne va pas te faire de l’ombre. On s’occupe de son cas. Crois-moi bien qu’on a retenu la leçon de ses coups francs l’année dernière, c’est fini (ou alors à trente quarante mètres pour sauver les apparences). On ne va lui signaler plus aucune faute à vingt trente mètres. Ainsi, il ne pourra se mettre en évidence, et se découragera à la longue. Ça tombe bien, on a déjà largement endoctriné les moutons qui sont convaincus que c’est une plongeuse et un simulateur. En plus, il est portugais comme Mourinho. Ça passera sans souci. Le pays n’a aucun poids et, en plus, ils ont déjà suffisamment d’emmerdes extra sportifs. Et puis comme meilleur joueur du monde, vous conviendrez qu’un argentin c’est plus crédible qu’un vulgaire portugais. Idem pour le coach.
L’action de CR7 sur le but refusé est un concentré à elle seule de l’escroquerie catalane. Une escroquerie dans tous les sens du terme. On ne lui signale bien entendu pas de faute subie, il n’en a eu aucune quand il était à proximité de la surface. C’est qu’il pourrait marquer, ce petit *****, si on lui en laisse la possibilité. Donc, il n’y a pas faute sur lui, pas de coup franc, pas de but accordé, mais faute qu’il aurait commise! Soit trois injustices en une seule action: il subit donc une faute, on ne lui donne pas coup franc, on annule le but et on siffle faute contre lui! Remarquez qu’il s’agissait de la seule solution pour éviter les deux autres dont l’on ne voulait pas: lui donner un coup franc proche de la surface et courir le risque qu’il puisse marquer ou accorder le but dans l’action de jeu. N’en jetez plus. A 0-1, le Real pourrait revenir. L’arbitre a fait ce pourquoi il a été nommé: annihiler tout espoir du club merengue de remonter l’équipe sponsorisée par l’UEFA. Mourinho avait encore raison. Si on a le malheur de marquer là-bas, ils nous «tueront». Bien vu, José.
Cette course effrénée de l’année dernière sur la pelouse du club chéri, on n’a pas trop apprécié tu sais, et ce à tous les niveaux (Big Boss ou Big Brother). Il fallait te le faire payer. Tu as été volé (sur l’aller comme sur le retour), exclu, on t’a presque empêché de voir dans le stade le deuxième match. On a également avancé la date du prononcé des sanctions pour encore bien te déstabiliser. Fallait pas chercher mec, pourquoi tu te rebelles? Laisse gagner le Barça, mince!
On a beau tenté par tout moyen de te décrédibiliser, ta posture t’honore toi et tous ceux qui ont encore foi en certaines valeurs de dignité, de lucidité et de courage. Tu aurais échoué, s’évertue-t-on à nous faire croire. Une coupe gagnée, une demi-finale de champion’s league et une deuxième place en championnat seraient les signes annonciateurs et incontestables de la défaite. Tu as échoué. Tu dois partir parce qu’on sait bien que tu es un empêcheur de tourner en rond, et qu’à conditions égales et équitables, tu peux éliminer le Barça. Tu l’as d’ailleurs prouvé encore cette année. Mais, ça on ne le veut pas. Quand on veut se débarrasser de son chien, on l’accuse d’avoir la rage. Mourinho est donc un rageux.

-étape 4: Le Saint-Père envoie ses apôtres
UEFA: Organe de pouvoir footballistique et surtout économique de nature dictatoriale digne des républiques bananières d’Afrique. Corruption, favoritisme, népotisme et scandales financiers dans l’attribution des compétitions internationales. Pas de pluralisme, un seul candidat aux élections, qui sont en réalité un plébiscite. Il n’y a tellement rien à redire dans ce meilleur des mondes possibles que c’est bien légitime, tout le monde en conviendra. Acclamé, applaudi par tous, le seul candidat est logiquement maintenu pour conserver le statu quo voire, mieux encore, s’engager courageusement dans la voie de la régression. C’est beau la tyrannie et la dictature au beau milieu du continent qui se targue d’être le précurseur de l’idée de démocratie! Platini et Blatter: même combat, et même profession: fossoyeurs du football. Mais, attention, Platini est français (oui Môssieur, vive la France!), du coup tout ce qu’il fait est bien pour nos médias. Même très bien. Bravo, Michel.
Ce suivisme aveugle, c’est également de celui là que tous les médias sans exception (belle discipline de groupe!) témoignent envers le bien nommé Laurent Blanc. Un mec qui ment sur ses déclarations, cautionne une injustice, fuit à l’étranger est davantage défendu que celui qui dénonce une injustice, dit la vérité et assume ses propos. La campagne pro-Blanc menée par l’Equipe a été inversement proportionnelle à celle anti-Mourinho menée par ce même journal d’opinion et d’influence. Pour ne pas parler du peu de scrupules témoigné après la qualification peu glorieuse obtenue contre l’Irlande pour le dernier mondial. Triste monde. Tout fout le camp.
Angel Maria Villar: Président de la fédération espagnole. Basque dont l’élection a été appuyée de toute force par le club catalan (et auquel le Real s’était opposé). Président de la fédération espagnole, Président du comité de sélection des arbitres, Président adjoint du comité juridique et de discipline, Vice-président de la FIFA, 3ème vice-président du comité exécutif, Représentant du comité exécutif de conseil et de stratégie du football professionnel. Le choix des arbitres, c’est lui. Un homme bien placé, ça aide. Et puis un basque qui aide la Catalogne pour faire ***** la Castille, ça se *****çoit assez bien à vrai dire.
Johan Gaspart et Joan Laporta, anciens présidents de l’équipe catalane, sont également présents au sein de l’organisme, qui fait presque office de club privé pour les anciens de la maison culé: l’un comme membre du comité des compétitions, l’autre comme membre du conseil de stratégie du football professionnel. Qui a dit noyautage? Une vraie maison de retraite catalane.
Et où on apprend enfin que le bras droit de Platini et de Villar à l’UEFA est un certain turc, Senes Erzik. Premier vice président de l’UEFA qui, comble de hasard, travaille depuis plusieurs années à l’UNICEF, le sponsor du maillot de Barcelone. Quelle hasard! Le sponsor qui fait classe pour une équipe de gentils. Le Barça, c’est l’équipe de l’ONU, des oeuvres humanitaires qui réparent les injustices et redonnent le sourire aux pauvres enfants qui souffrent à travers le monde. L’UNICEF et le témoignage à Abidal (ridicule et surtout permettant de couvrir le scandale auquel on vient d’assister). Ben ouais, le Barça c’est aussi ça. Dommage que leur comportement sur et en dehors du terrain ne soit pas aussi noble.
C’est l’UEFA qui choisit les arbitres qui doivent officier dans les rencontres européennes. Et Villar en est le responsable attitré.
Aux quatre coins d’Europe quand le Barça joue et qu’il est menacé d’élimination, le Saint-Père Platini, appuyé par Villar ou Collina (sorte de croque-mort et italien de surcroît), envoie ses apôtres missionnaires venir prêcher la sainte parole: ceux-ci ont pour nom Ovrebo, Bussaca, De Bleeckhere, Starck (ce dernier ayant admis être un grand fan de Messi et vouloir un maillot dédicacé durant le dernier mondial: bravo à l’uefa qui a fait en sorte que son rêve le plus cher se réalise. C’est beau de permettre à un fan de côtoyer son idole!).
L’UEFA est passée maître dans le choix «judicieux» des arbitres. Elle dispose d’une équipe de fidèles appliquant strictement les consignes qui peuvent se résumer à quelques commandements que les missionnaires connaissent par cœur: le Barça, à vie tu admireras; le Barça, dès que possible tu favoriseras; l’adversaire du Barça toujours tu pénaliseras; Messi pour la ballon d’or tu aideras; ...
Aider le barça de façon à ce que ça ne se voit pas trop même si c’est de plus en plus difficile, il faut bien en convenir, à moins d’être aveugle ou de mauvaise foi, ou bien les deux à la fois. Exemple, Di Maria récupère un ballon sur Puyol, et fonce seul vers le but. Vite, faute! Et faute, il y eut. Ouf, il s’en est fallu de peu. On ne va quand même pas en expulser un autre, ça va se voir. Annulons-leur des actions dangereuses et ne signalons aucune faute sur Ronaldo, ça finira par les décourager. L’arbitre a des consignes, mais il est aussi capable d’improvisation dans le feu de l’action. La fin justifie les moyens.
En plus, Big Brother a décrété que les trois premiers au ballon d’or résidaient tous à Barcelone. Quelle coïncidence tout de même! La probabilité était pourtant limitée. Déjà deux, mais alors trois. Comme si les trois meilleurs joueurs du monde créchaient dans le même club. Il y a tant d’équipes sur terre, des millions de km² de superficie, et les trois meilleurs joueurs du monde sont comme par hasard dans la même ville, la même équipe, et comble suprême du hasard, sortent de la même école. Ce qui aurait été fort en plus, c’est qu’ils aient été *****çus dans le même labo. Ca fait quand même un peu ***** qu’ensuite ils n’aillent pas en finale, vous avouerez, pour l’organisme qui les a désignés quelques mois avant comme la crème de la crème, le nec plus ultra. Les trois mages, parmi lesquels le messie.

-étape 5: La Sainte Trinité (ou à 12 vs 10, c’est quand même plus simple!)
A onze contre onze bof, à 12 vs 10, c’est mieux! Mais si, mes si, Messi, messie. Dédoublement et Trinité. UEFA, arbitrage, Barcelone. Tout s’explique.
Récapitulatif. Mes que une arnaque. Best of. Campagne 2006. L’équipe est portée à bout de bras vers la finale. Théatre de Messi contre Chelsea en huitième (revoir ce grand moment, l’acte fondateur du Farsa acting club, admirez le roulé que n’aurait pas renié Busquets), dualité de critères dans la double confrontation avec Benfica. But refusé à Shevchenko en demi-finale on se demande encore pourquoi (lui aussi d’ailleurs certainement), et en finale Arsenal réduit à dix alors qu’il mène (tiens, tiens, ça rappelle quelque chose). Ah, l’équipe de Ronaldinho! Quelle élégance, quelle beauté! Il fallait les récompenser. C’était déjà bankable à l’époque. Allez un petit geste, ou plutôt quelques petits gestes pour les aider parce qu’ils sont bien sympas.
Arrive ensuite la triennale qui passera à la postérité. L’épisode des miracles pour les chrétiens.
2009: Demi-finale retour contre Chelsea, Barça en danger, virtuellement éliminé, la honte de Stamford Bridge. Ce match restera comme celui où l’UEFA a définitivement baissé le masque et dévoilé son véritable visage d’hypocrite. Le foot européen a perdu toute crédibilité et le foot, en tant que jeu ludique aléatoire, est définitivement mort. Le Barça en danger: on n’accorde pas de pénalties, même justifiés. Piqué pouvait ainsi jouer librement au volley dans sa surface, Drogba se faire accrocher plusieurs fois dans la surface. Niet. Fucking disgrace. Vérité qui ne fait pas bon dire à (ou bondir) l’UEFA. C’est l’équipe de Messi, quand même, l’enfant star qui deviendra roi. Ovrebo a rempli sa mission. Une finale Manchester-Barça, vous en aviez rêvé, l’UEFA l’a fait!
2010: Demi-finale retour contre l’Inter, Barça en danger, virtuellement éliminé, expulsion, 11 vs 10. Une remuntada, nous annonce-t-on en grande pompe. L’embrigadement a comme prévu eu lieu (écoles, stade, ville, médias) et l’UEFA pour favoriser l’exploit tant attendu et annoncé. Souvenez-vous de la classe des pubs genre warrior (euh non, pardon je retire, j’oubliais que le barça ce sont les gentils). L’UEFA a donc dépêché l’arbitre souhaité, pour rendre la chose possible s’entend, qui a tout de suite commencé par expulser un intériste. Bon voilà, c’est fait. Là, la remuntada va vraiment pouvoir commencer! Bien sûr, l’arbitre (un certain de Bleckheere, tiens, tiens) aurait pu accorder le but à Bojan malgré le contrôle de la main de Keita juste avant, mais là ça se serait trop vu. Moins d’un an après Stamford Bridge et après que l’inter ait joué à dix plus d’une heure, ça aurait été de trop et aurait pu mettre la puce à l’oreille des brebis égarées non encore converties au barcelonisme. Déjà que le but de Piqué était aussi douteux que le troisième de Milito à l’aller concernant le hors-jeu. Dans le doute, il s’est abstenu. On a certainement dû lui tirer les oreilles. Ce n’est que partie remise. Il aurait l’occasion de se racheter.
2011: Bis repetita. Quart de final retour contre Arsenal, Barça en danger, virtuellement éliminé, expulsion, 11 vs 10. Voilà que l’arbitre joue sa partition à la perfection. Il expulse Van Persie pour avoir tiré moins d’une seconde après qu’il ait sifflé. Du jamais vu. En même temps vous êtes marrant, Arsenal ne jouait pas brutal, pourtant il fallait bien expulser quelqu’un. Désolé, on n’a pas trouvé mieux! Voilà c’est fait, Messi peut enfin entrer en jeu, on lui a balisé le chemin des buts. Il a fallu un peu l’aider, vous êtes drôle, il n’y arrivait pas à 11 vs 11.
2011: Ter repetita. Même stade de la compétition, même entraîneur adverse, même procédé. Là, on en exclut pas un mais deux pour être sûr de ne pas revivre la même mésaventure de l’année dernière ou un n’avait pas suffi. Demi-finale aller contre le Real, Barça en danger, expulsion, 11 vs 10. Campagne de dénigrement de Pepe (Merci Christophe Josse et autres journaleux d’élite de notre cher pays). En plus, ce ***** a complètement éclipsé Messi lors de la copa. Non mais, quelqu’un lui a dit que c’est le meilleur joueur de tous les tempsqu’il avait en face! Bon, laisse tomber, il a pas compris, on va lui faire comprendre. Vite, il faut l’expulser. Et Mourinho aussi, on ne sait jamais. Et on va le poursuivre devant l’uefa parce qu’il dit qu’on triche. Non mais quel toupet, tout de même! Et vite, prévenir tous les médias asservis et tous ceux qui n’aiment pas Mou, pour venir le critiquer. C’est le moment. Ca créera le buzz et on ne parlera pas trop de la manière un peu louche de comment les choses se sont passées, afin que le public pas encore asservi ne réfléchisse pas trop et ne fasse pas trop de rapprochements avec ce qui s’est passé les deux dernières éditions.
2011: Demi-finale retour. But du Real, le Barça potentiellement en danger, annulation du but (bah ouais, une autre expulsion, ça se serait un peu trop vu quand même, on a dû un peu innover!). Annihilation de toute offensive dangereuse du Real en sifflant systématiquement des fautes imaginaires (Di Maria) ou en ne signalant aucune faute sur CR7 de façon à ne pas lui donner de possibilité de marquer sur un contre ou sur coup franc. Vient ensuite le cortège des adorateurs de Messi nous expliquer qu’il est le meilleur. Dans de telles «conditions», il est en effet le meilleur. Mais à conditions égales, sans interférence de l’arbitre et à égalité numérique des deux équipes, il n’est pas le meilleur. Désolé pour tous les petits boutonneux qui s’identifient au Messi et à qui on fait croire qu’il est le meilleur. Vaste mensonge. Grande farce. Vous êtes les dindons de la Farsa.
Manchester-Barça, vous en avez encore rêvé, l’UEFA l’a encore refait! ! Merci qui?

étape 6 :Les adorateurs du veau d’or
Un public consentant et complice. C’est là que se situe peut-être la plus grande crainte, et le signe évident du déclin de notre société. L’injustice, la triche notoire, la manipulation éhontée ne sont non seulement pas dénoncées par ceux qui sont censés être des symboles de la liberté de parole et d’opinion, mais on les soutient au nom de l’intérêt supérieur du football, qui veut que dans ce sport doit toujours triompher ce que l’on a décrété comme le beau, comme le seul et unique modèle de jeu admissible.
L’UEFA n’ose en effet agir comme elle le fait sans le moindre scrupule car elle dispose de nombreux appuis ou relais qui non seulement ne dénoncent pas de tels agissements honteux et inqualifiables, mais en plus les cautionnent ou-pire encore-tentent maladroitement de les justifier. Ainsi, le journal l’équipe titrait mercredi: la victoire du jeu. Par opposition, à la défaite de l’antijeu? C’est quoi la victoire du jeu? Gagner à 12 vs 10? Faire en sorte d’avantager à outrance un joueur? Mais, dans quelle dictature vit-on? Je sais bien qu’il n’y a qu’un organe de presse sportive (ou presque) dans ce pays, mais tout de même. Tout le monde doit-il jouer comme le Barça? Y-a-il de la place pour les autres, les pas beaux? Est-ce au nom du jeu qu’on leur permet tous ces passe-droits qui décrédibilisent encore plus un sport, à l’image des scandales qu’ont connu le cyclisme, l’athlétisme et la natation? Ces mêmes journalistes se sont-ils révoltés contre France 1998 car leur jeu tenait plus de celui du Real que de celui du Barça? Ont-ils regretté que le joga bonito du Brésil n’ait pas triomphé à cette occasion? C’est sûr qu’abreuvés de ligue 1 toute l’année, nos commentateurs hexagonaux ont l’expérience du beau et savent le reconnaîtrau premier coup d’oeil, fruit d’une observation prolongée et attentive du formidable championnat local.
Tous les moyens sont bons pour faire triompher le «bien». Y compris tricher honteusement. Ce qui est pour le moins paradoxal, convenons-en.
On comprend mieux à la lumière de ces dernières années de ligue des champions le refus par l’UEFA et la FIFA de recourir à la video. Barcelone n’aurait pas franchi une seule fois le seuil des demi-finales. Alors que sans video et un arbitre uefa, on peut encore avoir la main sur le résultat. Et on peut y rajouter l’arbitrage des compétitions continentales et internationales. 5 arbitres, ça permet de temporiser. Ça mange pas de pain, en plus y a des cons pour y croire. Pourquoi se priver?
Mourinho est donc le diable en personne selon la propagande médiatico-footballistique. Un être néfaste qui tue le football, nous dit-on (football=barcelone). Au contraire, il est grand face à la petitesse et la médiocrité ambiante. Il ne s’était pas trompé, encore une fois. Non, il avait trouvé l’antidote, la solution: le match de coupe l’a démontré. C’était la bonne tactique, et à 11 vs 11. Hélas l’uefa et le Barça ne l’ont pas supporté. Guardiola s’était même plaint d’une décision justifiée de l’arbitre (?) d’annuler le but hors-jeu en coupe du roi, faut dire quand on est habitué à des passe-droits et des manipulations, ça doit faire tout drôle de pas être aidé et d’être arbitré «normalement» comme tous les autres. Et ce qui devait advenir advint: l’UEFA s’en est mêlée. On comprend mieux a posteriori la réaction de Guardiola qui s’était emporté en parlant de Mourinho «es el puto ama, el puto jefe». Quelle élégance du propos! Peut-être avait-il reçu des garanties sur le déroulé des événements à venir, qui lui avait permis de se libérer un peu. De plus, l’arbitre initialement nommé pour la demi-finale ne plaisait pas à Guardiola qui s’en est plaint, l’UEFA s’en est excusée, a discrètement écarté l’arbitre initialement prévu (il n’avait sans doute pas dû être suffisamment briefé) tout de suite répondu favorablement (comme souvent avec ce club) et a envoyé l’un des fidèles de la confrérie, qui avait déjà fait ces preuves un an auparavant même s’il n’avait pu achever correctement son travail de sape, car ayant à faire face à onze...euh non, dix bien sûr! (Suis-je bête?) joueurs fanatisés à l’extrême par un dictateur (dixit toujours l’ami du Pibe) qui ont empêché la prophétie de s’accomplir
Le Barça, l’équipe sponsorisée par l’UEFA, qui veut nous faire croire en arborant le logo UNICEF qu’elle serait instigatrice de nobles causes et de sentiments humanistes. Vaste farce. Nobles causes comme celle de faire du bruit jusqu’à trois-quatre heures du matin devant l’hôtel de l’Inter le jour précédant le retour de la demi-finale retour afin de les empêcher de dormir (en même temps, il y avait une remuntada à se taper le lendemain, c’est de bonne guerre!), ou comme celle de faire diligenter un contrôle fiscal (y a pas à dire, quels sans cœurs les inspecteurs des impôts!) à ce même moment (Ben quoi, très tard le soir le jour précédant le match retour, on n’a pas trouvé d’autre moment c’est tout) à Samuel Eto’o, ou encore celle de balancer sur la sono du stade l’hymne du Barça à fond juste après l’élimination contre l’Inter, en oubliant pas non plus de mettre aussitôt en route dès le sifflet l’arrosage automatique (c’est fragile une pelouse, surtout les soirs de défaite). Et ce n’était que l’Inter et que Mourinho en face. Là, c’était et le Real et Mourinho et CR7. C’est sûr, là le barça ne l’aurait pas supporté. Trop c’est trop.
Epilogue.
Le football vit une crise sans précédent. Il se meurt et agonise. Il a perdu ces dernières années toute sa crédibilité. Les scandales italiens ne sont rien à côté de ce à quoi nous assistons. Il a cessé d’être un jeu où chaque équipe dispute la victoire, et où chacune d’elles est arbitrée en équité. Non, on ne veut plus d’équité, on veut voir le Barça gagner.
Mou avait raison, il a souvent raison. La tactique était la bonne, mais on est venu la lui mettre à plat car elle avait déjà fonctionné. On l’a écarté le plus possible du match car on le craint. L’aventure avec l’inter avait été incroyable d’abnégation. L’inter avait tout vaincu: le championnat, la coupe, la ligue des champions, la commission d’arbitrage italienne (FIGC), l’uefa et surtout l’adversité des médias («l’inter c’est nul, regardez il fait jouer eto’o arrière droit. C’est vraiment de l’antifootball». On n’a presque pas mentionné le match aller où l’inter s’impose sur une marge qui traduit la différence de niveau ce jour-là. Ni l’audace démontrée lors de l’élimination de Chelsea avec deux victoires, dont celle de Stamford Bridge en alignant trois attaquants et Sneijder en soutien. On nous a resservi la même soupe cette année. Un match où l’équipe est réduite à dix et face à l’adversité et à la pression se replie défensivement. Un seul match, et voilà le jugement définitif, inéxorable, sans appel qui tombe: ils sont l’antifootball. Le football selon cette logique, ça doit être de se présenter à Barcelone, de baisser sa culotte, de se retourner et de se pencher en avant en serrant les dents.
Depuis deux-trois ans, le FC UEFA est porté par un arbitrage bien plus qu’orienté, ultra partisan, qui ne se cache même plus. La technique demeure invariablement la même. Elle suit le cheminement décrit. L’UEFA dépêche sur place ses arbitres en cas de risque (risque=élimination du barça=atteinte au beau). L’arbitre Benquerença était nommé pour la demi-finale, Guardiola a ironisé et exprimé son mécontentement, l’UEFA a tout de suite rattrapé sa bevue et envoyé un homme maison, qui avait déjà fait ses preuves un an auparavant. Ultime provocation au Real et à Mourinho qui ont dès lors compris qu’ils ne pouvaient rien faire. Ben ouais, Mourinho: Guardiola lui a le droit de récuser un arbitre qui ne lui plaît pas, et toi tu la fermes. Tiens pour la peine, on va en mettre exprès un de ta short list des arbitres non grata made in UEFA (celle qu’il avait lâchée dans cette mémorable conférence après le match aller). Ça te fera les pieds, ducon. Bien faitpour *****, ça t’apprendra à battre le barça, la plus grande équipe de tous les temps. Le mettre au placard, c’est le seul moyen jusqu’ici trouvé pour l’empêcher de nuire.
On les craignait tellement sur cette double confrontation, que pas un mais bien deux arbitres ont dû être dépêchés sur place sur l’aller comme sur le retour pour mettre fin à toute rébellion contre l’inéluctable: la victoire du jeu comme le dit l’Equipe, du beau décrété par les Ayatollahs de la pensée unique.
En dépit de ce que veut faire croire la propagande médiatique, le Real et Mourinho n’ont pas perdu à cause de leur jeu, cela n’a strictement rien à voir. On les aurait arnaqués sur autre chose (cf. Van Persie avec Arsenal ou Motta avec l’Inter), et les medias complices auraient trouvé une justification comme ont pu le faire les deux commentateurs lors de l’expulsion de Pepe. Ils ne pouvaient rien faire parce qu’il en avait été décidé ainsi dans les instances dirigeantes et corruptrices de ce sport.
Quand Chelsea se retrouve réduit à 10 en 2006 contre le Barça, Mou avait déjà évoqué le théatre catalan. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les faits récents lui ont encore donné raison. Mou a toujours raison. C’est même à se demander si les joueurs ne suivent pas tous une formation théatrale, d’acting quand on voit la technique d’encerclement de l’arbitre à six sept joueurs le vociférant, l’intimidant et l’agressant verbalement. Des fois, on a vraiment la sensation que l’un des joueurs va prendre dans la poche de l’arbitre un carton, le lui mettre dans sa main (un rouge de préférence), et la lever pour lui. Pas la peine, l’arbitre sait ce qu’il a à faire. Mais cela aussi fait partie de la comédie (on sent qu’il y a plusieurs heures de répétition là-dessous). Mourinho pouvait laisser échapper lors du match aller à l’arbitre un well done de circonstance. Belle représentation, l’une des plus réussies, d’une pièce que l’on nous joue ces dernières années. Et il sait de quoi il parle l’ami Mourinho, il a eu le «privilège» de pouvoir y assister plusieurs fois en première loge. Le rideau est tiré pour cette année, à moins que le Barça en cas de plébiscite médiatico-footballistique nous rejoue une dernière représentation dans quelques jours à Londres. Si Manchester résiste trop, il pourrait être tenté. L’UEFA jugera si une ultime représentation s’impose pour finir en beauté cette tournée triomphale depuis trois années. En attendant, si tout va bien, une autre devrait être programmée pour le printemps prochain. Comme d’habitude.
Les moutons fanatisés viendront ensuite nous dire que le Barça est meilleur que le Real, et que Messi est meilleur que CR7. A égalité numérique sur les quatre derniers matchs, le real n’a jamais perdu, et n’a encaissé qu’un but (et encore après qu’on lui en ait refusé un juste avant). Et oui!
Le Real était un adversaire dangereux pour le Barça. L’UEFA l’a rendu moins dangereux.
A quoi bon pour les autres équipes jouer contre le Barça, si en fin de compte si elles résistent trop, elles se feront pénaliser? Ça rime à quoi? Autant laisser le Barça jouer tout seul pour contenter tous ceux qui prennent leur pied en les voyant.
Comme le dit CR7, autant leur donner la coupe des champions 2012 dès maintenant, comme ça c’est réglé et tout le monde sera aux anges.
On n’a cessé de nous répéter que lors de ces derniers matchs, il s’agissait d’un véritable combat entre les deux équipes. On ne croit pas si bien dire. On pourrait même parler d’une sorte de catch plutôt que de combat de rue. Un spectacle orchestré depuis les coulisses où des acteurs font semblant de se battre et où les acteurs ont un scénario de combat qu’il doivent respecter tout en faisant en sorte de donner l’impression d’un vrai combat à l’issue incertaine. Les deux adversaires et l’arbitre sont dans la combine. C’est un peu la même chose en foot avec l’uefa et barcelone, à la différence près toutefois que l’autre adversaire n’est pas au courant du scénario et en fait les frais en live. Vous me direz, ça donne une impression de réalité le dépit légitime et vrai du perdant qui vient de se faire arnaquer par l’adversaire et l’arbitre, tout cela sous la bienveillance de commentateurs et d’un public qui n’attend que de voir cela car c’est cela qu’il veut voir.
Le football se meurt.
La question ici dépasse le cadre du jeu et même du football. C’est une question morale. Et ceux qui continuent d’appuyer le Barça ont une curieuse appréhension de l’éthique. Le fanatisme, l’aveuglement le plus extrême et la mauvaise foi de circonstance qui va avec.
Mourinho a raison de dire qu’il aurait honte de gagner de cette manière, de dire que ces victoires doivent revêtir une saveur particulière, celle de l’opprobre, de l’infamie. Apparemment, au vu des réactions, plusieurs ne semblent pas avoir les mêmes scrupules. Rassurez-vous, la supercherie continuera tant que les acteurs majeurs de cet acting seront toujours en place. Et les esprits faibles de continuer à nous parler de cette équipe comme la meilleure de tous les temps. Une honte qui j’en suis certain fera date. Et quand avec le recul, les choses changeront pour le mieux (je ne peux croire que l’on continue ainsi), n’oubliez pas quelle était la posture de chacun à ce moment, et il sera alors temps de constater, que chacun par son attitude de mutisme ou d’acquiescement, est responsable de la déliquescence de ce sport.
En achevant cet article, j’apprends que Mou vient d’écoper de cinq matchs de suspension. Cinq matchs pour avoir dit la vérité, une réalité évidente à toute personne dotée d’un cerveau en état de marche et d’un minimum d’esprit critique. Y a pas à dire, c’est le foot qui s’enfonce et avec lui la société. Ou plutôt l’inverse.
Il paraît qu’on vit dans la patrie des droits de l’homme. Quelle chance! Qu’est-ce que ça aurait été ailleurs.
C’est la France et l’un de ses représentants qui ont donné vie aux coupes d’Europe, il y a maintenant plus d’un demi-siècle; c’est aujourd’hui l’un des siens qui a définitivement flingué leur crédibilité.

par Fred sportvox.
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MessageSujet: Re: Revue de presse   Revue de presse - Page 2 I_icon_minitimeSam 14 Mai - 9:27

Oh salope le commentaire.. Je le lirais tout a l'heure.
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