Résumé de la quinzième journée

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JOURNÉE 15: LA SIMU FM LEAGUE A TROUVÉ SON RYTHME

Pour cette quinzième journée, peu de surprises. A vrai dire, elles tendent à diminuer depuis un certain nombre de journées, d'où le titre que nous donnons à ce compte rendu. En effet, et en un certain sens, la Simu FM League a son rythme, sa hiérarchie et mis à part quelques équipes faisant encore du « Yo-Yo » dans le classement, les premiers seront vraisemblablement les mêmes à la fin du championnat et les derniers devraient le rester, du moins, tout pousse à le penser. Ainsi, nous nous épargnerons la peine de parler de Bochum, une nouvelle fois défait par le Paris Saint Germain, la quatorzième défaite en quinze rencontres. L'équipe allemande occupe toujours la dernière place du classement et rien ne pourra l'en sortir, encore moins son entraîneur.

CHELSEA MET LA PRESSION

Derrière l'intouchable Real, les blues de Chelsea maintiennent leur rythme effréné pour continuer à contester l'autorité du Real. La victoire face à Lille permet aux blues de garder le contact au classement, mais avec néanmoins un match de plus que les madrilènes. Le match en lui-même n'a guère posé problème aux anglais, dominateurs, mais les lillois ont résisté vaillamment devant les offensives des blues. La rencontre commençait plutôt bien puisque Chelsea choisissait de tenir le ballon, faisant s'essouffler les lillois dans de vains efforts. Cette domination se concrétisait à la demi-heure de jeu avec l'ouverture du score signée Fernando Torres. L'espagnol continue sur son excellente série et profite d'avoir du temps de jeu, sans blessures. Mais, coup de tonnerre, les Lillois allaient égaliser grâce à un excellent Florent Balmont, qui sera d'ailleurs nommé homme du match. Ce but faisait espérer les dogues qui connaissaient une période faste et se montré plus allants. Et s'il est bien une chose qui meurt en dernier, c'est l'espoir. Cela, les blues l'ont parfaitement compris, puisque après avoir repris le jeu à leur compte en seconde période, ils assassinaient les lillois dans le temps additionnel grâce à Nicolas Anelka. Les londoniens l'emportent in-extremis mais leur victoire est logique au vu de la physionomie du match.

Torres exulte: il vient d'ouvrir le score pour les blues

L'INTER ET ARSENAL LACHENT DU LEST

L'Inter de Milan se déplaçait au stade Gerland de Lyon, pour une rencontre qui pouvait être véritablement palpitante entre deux équipes au coude à coude en championnat, puisque les gones occupaient la quatrième place et les nerazzuri, la cinquième. Les intéristes n'étaient cependant pas au mieux avant cette rencontre et avaient concédé un match nul face à Tottenham qui avait passablement énervé le coach intériste. Bob ne changeaient guère sa tactique à l'heure d'affronter l'OL et celle-ci ne se révélait pas plus payante au vu du match. En effet, les match fut assez équilibré et sans véritable suspens. Il aura fallu attendre l'heure de jeu pour voir un but, signé Stankovic. Mais l'Inter ne parvenait pas à faire le break, les milieux de terrains peinaient à trouver leurs attaquants, qui sont restés muets une nouvelle fois. Les lyonnais voyaient leur efforts récompensés par un but de Michel Bastos. Un score nul et équitable pour les deux équipes, mais qui au final n'arrange personne puisque le Real et Chelsea se sont imposés. Un nul qui agrandit le fossé entre les leaders et les « autres ». Claude Puel apparaissait d'ailleurs quelque peu résigné: « On sait bien que ce sera difficile de rattraper les deux équipes de devant et ce résultat ne va pas nous faciliter la tâcher. D'un autre côté, on est capable de tenir tête à l'Inter. Ah et au fait, je commence à en avoir plein les c... des déclarations de Cano' à mon encontre. Je lui rappelle qu'on a joué contre eux il y a deux semaines et qu'il s'est pas baladé, loin de là, alors maintenant ça suffit »

La mauvaise affaire vient surtout d'Arsenal qui poursuit actuellement une série noire. Cette fois, et alors que l'on était loin d'imaginer un tel scénario, ce sont les rennais de Frédéric Antonetti, qui s'en est pris une nouvelle fois au public de la route de Lorient (« Vous méritez rien, OH, vous méritez rien ! Faut les sublimer un peu les joueurs !) qui ont réalisé un gros coup. Grâce à leur belle victoire, les rennais intègrent au mérite la première partie de tableau. Le match en lui même fut une partie agréable, à rebondissements. Les rennais, emmenés par un Stéphane Dalmat des grands soirs ont fait des misères aux « baby-gunners » de Lolinho. Cela avait pourtant bien commencé avec l'ouverture du score de Chamack à la 27'. Mais les rennais égalisaient au meilleur moment, c'est-à-dire à la fin de la première mi-temps par l'intermédiaire de Montano avant de prendre l'avantage avant que Stéphane Lannoy indique le chemin des vestiaires. Lolinho poussait une gueulante à faire craquer les joints des murs des vestiaires et ses joueurs revenaient avec la ferme intention de revenir dans la partie. L'égalisation fut obtenue à l'arrachée grâce à Arshavin mais alors que l'on pensait que les londoniens avaient fait le plus dur, Boukari jaillissait pour redonner l'avantage aux bretons: 3-2, score final. Lolinho ne chachait pas sa frustration et envoyait valser les sièges tout autour de lui. La troisième place est encore en leur possession mais le retard commence à être conséquent, peut être un peu trop déjà pour les gunners.

Boukari est félicité par Brahimi et Montano (également buteur): Rennes fait chuter Arsenal

MONACO, TOTTENHAM ET LA JUVE SE DONNENT DE L'AIR

Sous la houlette de leur nouvel entraîneur Olive, les monégasques se comportent de mieux en mieux sur le terrain, même si leur entraîneur déplore le manque de réalisme de son équipe. Cette fois, il pourra également déplorer le manque d'animation offensive de ses joueurs. Tombés sur une équipe bordelaise regroupée dans ses quarante mètres, les monégasques ont peiné à se montrer dangereux devant le but de l'inoxydable Ulrich Ramé (ouais j'ai halluciné quand j'ai vu son nom). Olive demandait plus de mouvements à ses joueurs mais devait déjà faire face à un premier coup dur devant la blessure de son jeune attaquant Terence Makengo, buteur face au PSG. Déstabilisés, les monégasques ont accusé le coup et ont eu du mal a rentrer de nouveau dans la partie, d'autant plus que les asémistes ont dû essuyer la perte de Benjamin Moukandjo dès le début de la seconde période. C'est au final une véritable purge à laquelle ont eu droit à une véritable purge à laquelle ont eu droit les 28 000 spectateurs de Chaban-Delmas: des insultes en chanson sont d'ailleurs descendues des travées, comme cela commence à devenir habituel (« on se fait ch..., on se fait ch...). Olive était d'ailleurs furax de voir comment les bordelais avaient abordé la rencontre et ne s'est pas privé de le faire remarquer à l'entraîneur girondin, Jean Tigana dans le très long couloir qui mène au vestiaires. L'incident était d'ailleurs relaté par Tigana en conférence de presse: « Olive m'a dit que je l'avais fait rêver en équipe de France, à Monaco l'année du titre, et qu'il ne pouvait pas comprendre ma façon d'aborder le match, que c'était tout le contraire de ce que j'avais fait auparavant, en tant que joueur et entraîneur. J'ai envie de dire que l'on fait parfois ce qu'on peut avec les moyens que l'on a. »

Sébastien Puygrenier à la lutte avec Anthony Modeste: à l'image d'un match disputé et fermé

Tottenham de son côté recevait l'Olympique de Marseille. Bien classé, les marseillais espéraient se repositionner dans la course à l'Europe alors que Tottenham, en net regain de forme, sans que cela soit pour autant brillant, aspirait à sortir la tête de l'eau une bonne fois pour toute. C'est dans un White Hart Lane plein à craquer et dans une ambiance survolté que les équipes ont pénétré sur le terrain. Mais le but d'Harry Kewell refroidit vite l'ambiance. Dominateurs, les marseillais allaient pourtant être rejoints par les anglais à la 82' avec l'égalisation de Roman Pavlyuchenko. Dans le temps additionnel, Cheyrou pensait donner la victoire au siens mais Pavlyuchenko se mua en homme providentiel pour égaliser à nouveau dans les toutes dernières secondes. Passés près de la catastrophe, les spurs marquent tout de même un point qui les font gagner une place et qui leur donne un peu d'air, surtout au vu des résultats des concurrents directs. Sébastien Bassong, auteur d'un match médiocre, ne cherchait pas de fausses excuses: « Aujourd'hui, on est dans une situation délicate. On prend un point et on s'en contente parce que nos adversaires directs ont perdu, mais ce genre de match, c'est vraiment pas bon. J'ai l'impression que l'on fait peine à voir, que l'on se traîne sur le terrain. Aujourd'hui on a frisé la correctionnelle. Heureusement que « Ro » (Pavlyuchenko) est là pour nous sauver la mise. »

A force de voir la Juve perdre et descendre lentement mais surement dans les tréfonds du classement, on en oublie que son équipe et son effectif sont de qualité. Capable du meilleur comme du pire (mais surtout du pire) les bianconeri ont cette fois signé un succès « étrange » face à Manchester City. Après être passé tout près de la catastrophe, les joueurs de la vieille dame s'en sont remis à la providence, qui s'appelait Del Piero. La rencontre débutait fort mal pour les joueurs de la vieille Dame. A la demi-heure de jeu, Edin Dzeko ouvrait le score d'une superbe frappe croisée. Rien ne changeait véritablement et en seconde période, Armand Traoré marquait un but contre son camp. La Juve, incapable de proposer quoique ce soit, était alors au fond du gouffre. Un relâchement coupable des citizens dont les fins de matchs sont décidément à oublier redonne l'espoir aux joueurs de Paolo lorsque Del Piero réduit le score à la 85'. Trois minutes plus tard, ce même Del Piero privait les citizens de la victoire, lorsque le bourreau trentenaire achevait sa magnifique prestation d'un hat-trick dans le temps additionnel. Martini et son équipe laissaient échapper trois points bêtement, une fois de plus. Après le scénario du Milan AC, une autre équipe italienne reproduisait un fameux coup de jarnac. Martini était d'ailleurs totalement circonspect après ses deux défaites, mais le plus inquiétant semble être que sa direction commence à perdre patience et réfléchirait déjà à un remplaçant.

MILAN AC, VALENCE, LA DESCENTE EN ENFER

Pour Milan, rien de nouveau sous le soleil: l'équipe est complétement désorganisée et n'arrive pas à gagner. La victoire face à Valence, quoiqu'en dise Starkiller, n'était qu'un feu de paille contre une équipe encore plus à la peine. Pourtant cette équipe milanaise n'a pas démérité face face à l'ASSE, mais il apparaît inconcevable de dire ce genre de chose pour une équipe telle que le Milan. Les Milanais se sont montrés nettement au-dessus dans le jeu mais ce sont les stéphanois qui ont su tirer les marrons du feu avec un but rapide d'Aubameyang. Et que de maladresse chez les rossoneri: des attaquants pour qui on peut se demander s'ils n'ont pas perdu leur sens du but. Même si les milanais ont du faire avec deux blessures, les stéphanois ont justement puni les joueurs de Starkiller qui sombrent un peu plus au classement général.

Valence est également pris dans une spirale négative mais l'endiguer face au Real Madrid relevait presque de l'exploit. En forme, les madrilènes étaient absolument imprenables ce soir-là. Ils se sont littéralement « baladés » face à l'équipe de Cédric.J dont le poste est de plus en plus menacé. Et pour preuve, les valencians n'ont tiré qu'une seule fois au but. Pourtant si celui-ci s'était transformé en but, peut-être les joueurs du Mestalla auraient eu les moyens de faire douter les madrilènes, d'autant plus que la décision ne s'est faite qu'en toute fin de match, avec un but contre-son-camp de Stankevicius. Une « domination mythique » comme le soulignera Cano' à la fin du match mais aussi de la réussite pour le Real Madrid qui a pêché dans la finition et aurait pu être d'avantage mis en danger. Pourtant, la réussite des madrilènes est indéniable et ne peut que forcer l'admiration. Valence lui en revanche ne sort toujours pas la tête de l'eau et se retrouve désormais dans la zone de relégation.

Les joueurs de Valence ne rattraperont pas C.Ronaldo

MANCHESTER UNITED FAIT CRAQUER BARCELONE

Park vient de délivrer Manchester

C'est un match équilibré que l'on a pu voir ce soir à Old Trafford, mais qui a mis du temps à s'emballer. A vrai dire, la rencontre n'est jamais vraiment montée en intensité. Finalement, ce sont deux équipes moyennes qui se sont opposés. La rencontre s'est débloqué grâce au coréen Park à la 83', alors qu'il venait de rentrer quelques minutes plus tôt. Cette défaite n'est pas catastrophique en soi pour les Barçelonnais qui restent scotchés à la huitième place mais leur saison est définitivement mauvaise. Il faudra faire une croix sur une quelconque ambition cette année. Manchester alterne le bon et le moins bon et continue ses montagnes russes dans ce championnat. Une équipe qui manque cruellement de régularité.

Très bon article, surtout le petit tacle de Puel à Cano' tu t'es gavé ^^

Geinlissime. Et quelle plume ! Résumé de la quinzième journée 2317702173

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Merci Merci^^

Je vais lire mais c'est bien beau de me tacler en attendant faut peut être penser à me battre

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C'est pas moi c'est Claude Puel

Ouais ouais sauf que Puel m'a sucé dans la partie ^^ Dommage

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Pas vu pas pris

Bon article.. mais on est a la 18e maintenant, tout a re-changé :p

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ben oui je sais mais bon

Cano' a écrit:: Je vais lire mais c'est bien beau de me tacler en attendant faut peut être penser à me battre

Sainté l'a fait avec beauté mouahahah

Oui mais toujours aucun membre du fofo

Bla bla bla, t'as lu le résumé de la journée au lieu de raler?

Non trop long pas le temps

Va que pour me casser les couilles t'as le temps.

Ouais mais ça c'est drôle (enfoiré toi tu me fais perdre)

Sa aussi c'est drole de te faire perdre. mouahaha

lol merde j'étais sûr que t'allais dire ça enfoiré va
Au moins tu l'avoues

Ouai et j'suis meme fier voila et il est ou le probleme?

Aucun au contraire je peux maintenant expliquer ma défaite de façon rationnelle

T'as défaite n'est du qu'a toi et tes capacités limités face au club français

Très beau

et merde hein Milan si ça marche pas c'est pas que de ma faute

+1. C'est la faute a la nouvelle tactique de Ced.

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Starkiller a écrit:: Très beau

et merde hein Milan si ça marche pas c'est pas que de ma faute

`je t'ai pas mis en cause lol
J'aurais dû? ^^

La nouvelle tactique de Céd elle nous fait tous foirer, enfoiré de communistes grévistes

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